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document.write(' Mais, la Révolution ayant éclaté, le cadet part dans les troupes royales à Saint-Domingue pour le maintien de l’ordre, dans une colonie en proie à des convulsions, débarquant à Port-au-Prince, assistant aux âpres luttes pour le pouvoir, notamment de par les Blancs autonomistes. Il a également la procuration de son frère pour veiller sur sa sucrerie. C’est alors que débarquent les Anglais ; toute la plaine du Cul-de-Sac passe sous leur contrôle. Notre cadet, méfiant vis-à-vis de la Révolution, fait partie des officiers qui rejoignent les Anglais et va effectuer diverses opérations de maintien de l’ordre britannique jusqu’au retrait de ceux-ci, en 1798, tandis que Toussaint Louverture s’affirme chaque jour davantage comme «l’homme qui monte».
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document.write(' Entre-temps, le jeune officier avait été mis en possession de la sucrerie familiale, et va, notamment à partir de 1798, effectuer un considérable effort de remise en fonctionnement. Il est également titulaire de procurations pour gérer les habitations Noailles et d’Argout, mitoyennes de la sienne. Car, malgré les incertitudes politiques et les tensions qui règnent, le jeune homme est tombé sous le charme du pays au point de renoncer à sa part d’héritage en métropole, pour l’échanger contre la part de son aîné à Saint-Domingue, c’est-à-dire le quart de la sucrerie. Il faut dire qu’une concubine domingoise a favorisé cet ancrage…');
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