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document.write(' « La sculpture peut-elle sauver Noailles ?
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document.write(' Ou les Boss métal de la Croix des Bouquets »
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document.write(' Au-delà d’une simple projection, Arnold Antonin, en présentant son documentaire/questionnaire, aux acteurs du film, plantant celui-ci, l’espace d’une soirée, au cœur du village de Noailles, a déclenché un processus dialectique.
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document.write(' D’emblée, la thèse annoncée par le titre du film, met en présence une formidable vitalité créatrice, portée par les 60 ateliers du village des sculpteurs de Noailles à Croix des Bouquets. Ceux-ci, s’organisent aujourd’hui, en association, afin d’améliorer leur quotidien. Tandis qu’Eddy Jean Rémy, jeune sculpteur porte drapeau, président de l’association, rêve d’un village verdoyant, où l’art et la mémoire suffiraient à attirer les collectionneurs du monde entier, au sein de ce village, d’irréductibles créateurs, défient l’endémique infortune et la fatalité.
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